Issus du terroir de l’île de La Réunion, le Galabé désigne des produit issus de la transformation artisanale du pur jus de cannes. Grâce à une méthode de chauffe traditionnelle, ces sirops, caramels, sucres complets et bonbons dévoilent des textures originales et une intensité aromatique exceptionnelle. Ils se dégustent directement et s’utilisent facilement dans la cuisine, la pâtisserie et les cocktails. Produit sans additif ni colorant ni conservateur, le Galabé restitue intégralement les nutriments contenus naturellement dans le jus de cannes, en particulier du fer et du sodium.
Les cannes coupées à la main sont amenées directement à la sucrerie et broyées au moulin. Le pur jus de cannes est ensuite évaporé de longues heures et à la pression atmosphérique pour obtenir des produits fortement concentrés en saveurs ! La bagasse, résidu fibreux de la canne est utilisé comme combustible pour produire l’énergie nécessaire à l’évaporation. Les cendres et écumes issus de la production sont renvoyées au champs pour nourrir les sols de nos parcelles.
Conseil d'utilisation: qu’il soit utilisé en tant que sirop dans une salade de fruits, un ti punch ou dans une vinaigrette pour accompagner un tataki de thon au sésame (avec huile de sésame, sauce soja et citron vert).
Composition : 100% jus de canne extrait en première pression à froid. Sans additifs, sans colorants et sans conservateurs.
Poids : 50 ou 200 ml
A propos : Implantée sur le domaine historique de Bel Air, au Nord de l’île, la Micro-Sucrerie Payet & Rivière poursuit une aventure familiale enracinée dans l’histoire agricole et industrielle de La Réunion. Chaque jour, les membres de l'entreprise oeuvrent aux champs et à l'usine pour innover et créer les produits de la plus grande qualité, dans le respect des savoir-faire et des valeurs qui nous ont été transmis par les générations précédentes.
Longtemps oublié, le Galabé appartient désormais au patrimoine gastronomique français. Pour les réunionnais, il a ce parfum particulier, évocateur de l’enfance :
« Nous retournions à nos jeux sur le sable noir verdi d’olivine, guettant le passage du marchand ambulant à qui l’on achetait les pistaches, le Galabé surtout qu’il proposait, mordoré, à peine durcit, à même les larges plateaux de tôles où l’on avait coulé le jus de cannes cuit ».
P-L RIVIERE. Note des derniers jours.